Ouvert à 17 heures, cet espace avait accueilli en une petite heure une douzaine de personnes. « Il y a ici deux lignes de vaccination », explique le docteur François Garin, radiologue dans la vie de tous les jours et volontaire pour la campagne de vaccination contre le virus de la grippe A.
Dans cet ancien collège, tout a été installé pour recevoir le public en affluence : salle d'attente, salle de consultation avec un médecin, salle de vaccination ... Pourtant, les personnes désignées par la Préfecture comme prioritaires arrivent au compte goutte. La plupart sont d'ailleurs des professionnels de santé.
Le vaccin sans adjuvants plus qu'attendu
« Il y a du rodage dans l'air », lance un médecin généraliste hérouvillais tout juste vacciné. Et en effet, si le personnel sur place semble largement assez nombreux, tous se posent diverses questions : où trouver des bons de traçabilité ? La sonde dans le réfrigérateur n'est elle pas trop sensible, la température ne risque t-elle pas de nuire à la bonne conservation du vaccin ?
Le docteur François Garin se fera lui aussi vacciner prochainement. « Ma fille est asthmatique, elle le fera aussi ». Pour le moment, ce dernier reçoit les personnes prioritaires avant vaccination afin de vérifier que leur dossier médical ne comporte aucune contre indication. «C'est de l'oeuf qui sert de support de culture au vaccin contre la grippe A, comme de nombreux vaccins. Si la personne est allergique aux oeufs par exemple, elle devra donc attendre le vaccin sans adjuvants. D'ailleurs, nombreux sont ceux qui l'attendent », souligne t-il.
En salle de vaccination, ce sont ensuite des infirmières qui effectuent le vaccin ou plus exactement des étudiantes de l'école d'infirmières de Caen, réquisitionnées. Pour veiller au bon déroulement de l'opération, Catherine Besnier et Arlette Huchet sont là. L'une est infirmière scolaire, la seconde infirmière libérale. Cette dernière a préféré se porter volontaire afin « d'éviter la réquisition », ceci dans le but d'organiser son emploi du temps et de « ne pas embêter sa clientèle habituelle ».
Dans cet ancien collège, tout a été installé pour recevoir le public en affluence : salle d'attente, salle de consultation avec un médecin, salle de vaccination ... Pourtant, les personnes désignées par la Préfecture comme prioritaires arrivent au compte goutte. La plupart sont d'ailleurs des professionnels de santé.
Le vaccin sans adjuvants plus qu'attendu
« Il y a du rodage dans l'air », lance un médecin généraliste hérouvillais tout juste vacciné. Et en effet, si le personnel sur place semble largement assez nombreux, tous se posent diverses questions : où trouver des bons de traçabilité ? La sonde dans le réfrigérateur n'est elle pas trop sensible, la température ne risque t-elle pas de nuire à la bonne conservation du vaccin ?
Le docteur François Garin se fera lui aussi vacciner prochainement. « Ma fille est asthmatique, elle le fera aussi ». Pour le moment, ce dernier reçoit les personnes prioritaires avant vaccination afin de vérifier que leur dossier médical ne comporte aucune contre indication. «C'est de l'oeuf qui sert de support de culture au vaccin contre la grippe A, comme de nombreux vaccins. Si la personne est allergique aux oeufs par exemple, elle devra donc attendre le vaccin sans adjuvants. D'ailleurs, nombreux sont ceux qui l'attendent », souligne t-il.
En salle de vaccination, ce sont ensuite des infirmières qui effectuent le vaccin ou plus exactement des étudiantes de l'école d'infirmières de Caen, réquisitionnées. Pour veiller au bon déroulement de l'opération, Catherine Besnier et Arlette Huchet sont là. L'une est infirmière scolaire, la seconde infirmière libérale. Cette dernière a préféré se porter volontaire afin « d'éviter la réquisition », ceci dans le but d'organiser son emploi du temps et de « ne pas embêter sa clientèle habituelle ».
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