Le président de la région Basse-Normandie tenait à prendre le pouls de l'entreprise née il y a près de six mois, suite à la fermeture de l'usine NXP. "Il sagit de montrer que malgré les difficultés rencontrées avec la fermeture de NXP, Caen et sa technopôle nont pas dit leur dernier mot. La réussite dIPDIA en est la preuve", a affirmé Laurent Beauvais. La région a alloué 907 000€ pour son lancement.
Vers linternational
La chute de lentreprise NXP a entraîné la suppression de 373 postes à Caen. Aujourdhui, IPDIA compte 85 salariés et compte sur un rythme de 15 créations de poste par an, si lactivité le permet. La production semble tenir son rang jusquà maintenant. Et pour ce faire, la nouvelle société dirigée par Franck Murray, ancien directeur de la technologie pour NXP, na pas hésité à changer son angle dattaque du marché des composants électriques. "NXP était positionné sur des marchés de grand volume au sein desquels les prix les plus bas sont recherchés", explique Franck Murray. IPDIA a décidé de sorienter vers des niches économiques qui favorisent les composants miniaturisés à haute valeur ajoutée. Un de ses clients est par exemple le numéro 1 du pace-maker américain. Outre le secteur médical, IPDIA est spécialisé dans léclairage innovant. Lentreprise participe à la production de led, une source lumineuse à basse consommation. IPDIA souhaite aussi se tourner vers le secteur spatial. La majeure partie de son carnet de commande dépend dentrepreneurs américains et asiatiques, notamment de Singapour. "Le fait que NXP soit tournée vers linternational a été un plus pour la création dIPDIA. La plupart de nos salariés sont issus de NXP et maîtrise les rouages du business international, particulièrement la langue anglaise", affirme le directeur de lentreprise.
Légende photo : Franck Murray, directeur dIPDIA et ancien directeur de la technologie chez NXP, et Laurent Beauvais, président du Conseil régional de Basse-Normandie et Corinne Féret, vice-présidente du Conseil régional.
Vers linternational
La chute de lentreprise NXP a entraîné la suppression de 373 postes à Caen. Aujourdhui, IPDIA compte 85 salariés et compte sur un rythme de 15 créations de poste par an, si lactivité le permet. La production semble tenir son rang jusquà maintenant. Et pour ce faire, la nouvelle société dirigée par Franck Murray, ancien directeur de la technologie pour NXP, na pas hésité à changer son angle dattaque du marché des composants électriques. "NXP était positionné sur des marchés de grand volume au sein desquels les prix les plus bas sont recherchés", explique Franck Murray. IPDIA a décidé de sorienter vers des niches économiques qui favorisent les composants miniaturisés à haute valeur ajoutée. Un de ses clients est par exemple le numéro 1 du pace-maker américain. Outre le secteur médical, IPDIA est spécialisé dans léclairage innovant. Lentreprise participe à la production de led, une source lumineuse à basse consommation. IPDIA souhaite aussi se tourner vers le secteur spatial. La majeure partie de son carnet de commande dépend dentrepreneurs américains et asiatiques, notamment de Singapour. "Le fait que NXP soit tournée vers linternational a été un plus pour la création dIPDIA. La plupart de nos salariés sont issus de NXP et maîtrise les rouages du business international, particulièrement la langue anglaise", affirme le directeur de lentreprise.
Légende photo : Franck Murray, directeur dIPDIA et ancien directeur de la technologie chez NXP, et Laurent Beauvais, président du Conseil régional de Basse-Normandie et Corinne Féret, vice-présidente du Conseil régional.
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