"Notre politique à cet égard était peut-être un peu modeste", reconnaît Eric Lengereau, le directeur. "Nous misons sur une montée en puissance ces prochaines années". Allemagne, Espagne, Lettonie, Turquie, Macédoine, Canada... Autant de destinations où les étudiants en arts peuvent désormais aller étudier, le temps d’un semestre.
"J’aide les étudiants à obtenir des bourses, trouver un logement sur place... J’ai aussi récemment passé des conventions avec la Pologne et le Royaume-Uni. Et je cherche à développer nos contacts avec la Finlande, la Suède ou la Norvège, où le niveau d’anglais est excellent", explique la nouvelle responsable des relations internationales France Lagriffoul. En novembre, l’Esam accueillera également le responsable d’une école d’art d’Ekaterinbourg, en Russie, avec pour objectif de nouer des relations durables.
20% de profs étrangers
L’organisation de voyages d’études représente aussi une part importante du travail du service international. "Ils ont valeur de crédit, rappelle Eric Lengereau. Au début du mois, des étudiants de l’école se sont rendus aux Etats-Unis pour participer à un 'workshop' avec l’Université de Massachusetts Lowel".
Mais l’Esam ne fait pas qu’envoyer des étudiants à l’étranger. Elle reçoit aussi cette année une vingtaine de Coréens et de Chinois, inscrits "hors programme", et s’apprête à accueillir trois étudiants en Erasmus. "20% de nos professeurs sont également de nationalité étrangère, précise le directeur. Nous avons besoin de ces profils cosmopolites, de leur expérience, de leur réseau, pour organiser un croisement des pratiques pédagogiques".
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