Le syndicat mixte qui gère le projet de désensablement du Mont-Saint-Michel devrait donc annoncer le 29 octobre des "corrections" à apporter au nouvel accès au rocher mis en place depuis le 28 avril, mais contesté parce qu'il oblige les touristes à marcher.
Ces corrections concerneront notamment le point de départ des navettes, qui, pour l'heure, n'effectuent que la moitié du trajet entre le parking et le mont, obligeant les touristes à parcourir à pied deux à trois kilomètres aller-retour.
Il faudra plusieurs semaines avant que ces propositions ne se concrétisent par un avenant au contrat avec Veolia, selon M. Beauvais, qui dénonce "l'incompétence" de l'entreprise sur ce dossier.
Hausse du coût du parking ou financement supplémentaire par les collectivités locales, "rien n'est exclu", a précisé M. Beauvais, soulignant toutefois que la région n'était pas riche.
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