Formé au SM Caen, Anthony Deroin n'a connu qu'un seul club tout au long de sa carrière. Le natif de la ville a porté le maillot malherbiste 406 fois, avant de retrouver le monde amateur à Villers-Bocage.
Quel est votre lien avec Caen ?
"Je suis très attachée à cette ville, puisque j'y ai fait toute ma carrière. On y est bien, c'est paisible. J'avais toujours de bonnes relations avec les supporters, toujours calmes et bienveillants. D'ailleurs, ils sont là pour supporter, et non pas pour critiquer les adversaires. Le public est bon joueur, mais sait défendre son équipe, même dans les moments très compliqués comme en ce moment."
Quel serait votre endroit préféré ?
"Je viens peu à Caen, sauf pour voir mes filles qui y habitent. La rue du Vaugueux, c'est celle où je me rends le plus souvent, pour manger. En fin de compte, je n'ai jamais vraiment visité la ville, même si j'y ai habité. J'aimerais qu'on me fasse découvrir vraiment Caen, des gens pourraient m'aider !"
On s'attendait à ce que la réponse
soit le stade Michel d'Ornano…
"Ah mais oui ! Mais pour moi Caen, c'est le centre-ville… D'Ornano, Venoix, c'était ma maison pendant une quinzaine d'années, avec cet aller-retour de la campagne au stade. Le vestiaire était notre petit endroit secret. Il y avait le cagibi de notre intendant, où les gars qui fumaient se cachaient après les entraînements. On se retrouvait pour le café, on y passait de bons moments."
Vous aimeriez changer quoi à Caen ?
"J'ajouterai 15 points au Stade Malherbe ! Hormis la plaisanterie, je ne veux pas qu'elle change, j'adore la ville comme elle est : authentique, simple. On est content d'y venir, tout simplement."
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