Willy Rodon, en double état de récidive, contestait les faits et voulait être jugé, mais l'avocat de la victime n'avait pas eu le temps d'étudier le dossier. L'affaire a été renvoyée au 22 novembre. D'ici là, l'agresseur présumé, qui affiche 7 mentions à son casier judiciaire, a été incarcéré.
Mais ce jour-là, c'est cette fois-ci l'avocat du prévenu qui ne sera pas là: il sera en train de plaider, devant les Assises de l'Orne...
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