Tout commence avec la fin de l'idylle entre Flavie et Valentin, qui s'étaient rencontrés dans la dernière saison de l'émission de M6 "L'Amour est dans le pré". Après plusieurs mois de relation, leur rupture est officialisée en février 2025. Si l'annonce était d'abord sobre, elle a vite dégénéré sur les réseaux sociaux.
C'est sur la plage de Saint-Laurent-sur-Mer, près de Bayeux, que Valentin et Flavie avaient échangé leurs premiers baisers. - M6: l'amour est dans le pré
Dans une interview, Valentin avait expliqué que Flavie "voulait tout contrôler" et partageait trop leur vie privée en ligne. Des propos qui n'ont pas du tout plu à la principale intéressée. Elle a répliqué dans une autre interview en expliquant qu'il "n'assumait même pas ses pensées" et que toutes leurs publications étaient discutées à l'avance. Depuis, le torchon brûle et chacun campe sur ses positions.
"On n'était pas faits pour être ensemble" : Flavie met les choses au clair. - M6: l'amour est dans le pré
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Un autre Valentin pris pour cible sur Instagram
Sauf que dans cette guerre virtuelle, un certain Valentin Moricet, ex-candidat de la saison 16 de "L'Amour est dans le pré", se retrouve malgré lui sous les projecteurs… et pas pour les bonnes raisons. Depuis plusieurs jours, il reçoit des insultes et messages haineux qui ne lui sont pas du tout destinés !
Le problème ? Il porte le même prénom que l'ex de Flavie et certains internautes l'accusent – à tort – d'avoir quitté la jeune femme de manière brutale. Lassé de cette situation, il a pris la parole en story Instagram :
"Je suis breton, moi ! C'était la saison 16 et je n'ai rien à voir avec Flavie. Arrêtez de m'insulter !"
Il précise également qu'il est en couple depuis un moment et que son histoire n'a absolument rien à voir avec la polémique actuelle.
Le cyberharcèlement, un fléau récurrent pour les personnes qui passent à la télé
Malheureusement, ce n'est pas la première fois qu'un candidat de télé-réalité subit ce genre de déferlement de haine. Flavie elle-même avait été prise pour cible après l'annonce de sa séparation. Récemment, M6 a même dû intervenir pour appeler les téléspectateurs au respect après des attaques contre un binôme de Pékin Express.
Pour rappel, le cyberharcèlement est puni par la loi et peut entraîner jusqu'à deux ans de prison et 30 000€ d'amende. Une simple confusion de prénom ne devrait pas justifier un tel déchaînement.
Une affaire qui en dit long sur les dérives des réseaux sociaux
Cette histoire rocambolesque montre à quel point les internautes peuvent se précipiter sans vérifier leurs sources. Entre le besoin de commenter à chaud et la facilité avec laquelle des informations se propagent, les erreurs – et leurs conséquences – peuvent être dramatiques.
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