Avant de parler de Zizou, mettons les choses au clair : Malika Ménard n'est pas une footix (entendez par là, "une fan de la dernière heure"). Elle a découvert le football en grandissant à Caen avec le Stade Malherbe.
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Et comme toute fan de foot qui se respecte, elle a toujours eu ses petits crushs sportifs (qu'elle a pu concrétiser, elle). Benoît Costil, Clément Grenier… Mais aucun n'arrive à la cheville de son idole ultime : Zinédine Zidane. Dans une interview accordée à Gala, elle raconte, entre autres, sa rencontre avec son idole.
1998 : l'année qui a tout changé
Quand la France remporte la Coupe du Monde en 1998, Malika a 11 ans. Comme des millions d'enfants ce soir-là, elle est devant sa télé, les yeux rivés sur ce type chauve qui fait des miracles avec ses pieds.
"C'était deux jours avant mes 11 ans ! J'étais chez mes grands-parents, toute ma famille était rassemblée, prête à ouvrir le champagne. Un des souvenirs les plus marquants de mon enfance"
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Sa rencontre avec Zidane : moment de malaise
Des années plus tard, l'ex-Miss France a enfin l'occasion de rencontrer son idole. Un rêve d'enfant devenu réalité. Mais comme souvent dans ces moments-là, le stress prend le dessus, et le résultat est… disons, embarrassant.
"J'ai eu la chance de rencontrer Zidane qui restera à vie mon joueur préféré. J'étais impressionnée et n'ai pas su articuler grand-chose à part répéter : 'Je m'appelle comme votre mère.' Mode groupie activé !"
Pour le glamour, on repassera. Mais pour l'anecdote, on valide à 100% !
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Zidane forever
Malgré cette interaction aussi étrange qu'hilarante, Malika reste une fan inconditionnelle de Zizou. Il représente pour elle bien plus qu'un footballeur : un exemple d'humilité et de travail acharné.
"A l'époque, j'avais un poster du numéro 10 et du numéro 12 dans ma chambre, Thierry Henry, mais je n'ai pas eu la chance de le rencontrer. J'aimais son flegme. Un côté Roger Federer qui n'exprime rien, mais qui travaille dur."
Et si elle a un jour l'occasion de rencontrer Titi, on lui souhaite que ce soit moins gênant que son face-à-face avec Zidane. Enfin, pas trop, parce que nous, on adore ces histoires !
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