Comment vous êtes-vous mise au padel ?
"J'ai commencé le tennis à l'âge de 4 ans. J'ai eu la chance d'intégrer ensuite un cursus de sport étude à Rouen puis Staps, à la faculté de Mont-Saint-Aignan, où j'ai obtenu un master en management du sport. C'est là que j'ai découvert le padel. J'avais atteint ma limite en tennis, je n'arrivais plus à progresser. Le padel m'a paru hyper ludique, social aussi contrairement au tennis qui est individuel."
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Est-ce que votre déménagement dans le Sud est lié à la pratique du padel ?
"Je suis descendue à Montpellier pour le travail mais effectivement je me suis mise à jouer beaucoup plus là-bas car il y a plus d'infrastructures que dans le Nord grâce notamment à la proximité avec l'Espagne où ce sport est très développé. La plupart des pistes de paddle sont en extérieur."
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Quel souvenir particulier gardez-vous de votre carrière ?
"J'ai deux gros souvenirs. Le premier, c'est lorsque j'ai été vice-championne de France en 2021, où nous n'étions pas très attendues avec ma partenaire de l'époque Géraldine Sorel. Et puis il y a eu aussi ma première sélection en équipe de France aux championnats du monde à Doha en 2021."
En quoi consiste votre rôle à la FFT ?
"On accompagne les ligues dans la formation des jeunes. Il y a un vrai objectif d'augmenter le nombre de pratiquants. On a aussi une vraie mission sur la détection et on a la chance d'être capitaine des équipes de France junior."
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