A Lingreville, petit coin paisible de la Manche, Jean-Guillaume Arraibard et sa compagne ont décidé de sortir les grains de sel des livres d'histoire. Leur mission ? Redonner vie à une tradition ancestrale : la production de sel. Avec leur entreprise joliment nommée "Sel in Manche", ils exploitent l'eau de mer locale pour fabriquer du sel blanc, mais pas seulement.
Leur innovation ? Un sel doré obtenu grâce à un filtrage à l'ancienne, avec de la paille. Oui, de la paille, comme au bon vieux temps. Et comme Jean-Guillaume Arraibard aime repousser les limites, il expérimente aussi un sel fumé en partenariat avec le boucher d'Annoville.
Une tradition salée qui séduit déjà les élus
La production de sel à Lingreville n'est pas seulement un clin d'œil au passé, c'est aussi un projet qui fait parler. Stéphane Travert, député de la Manche, a même fait un saut dans la boutique pour découvrir cette aventure salée. Et entre nous, si un élu se déplace, c'est que ça vaut le détour, non ?
Mais Jean-Guillaume Arraibard ne s'arrête pas là. En plus de remettre la Manche sur la carte des producteurs de sel, il compte bien séduire les gourmets. Sa première commercialisation est prévue pour cette année, avec le boucher d'Annoville comme premier distributeur.
Pourquoi cette histoire est cool
D'abord, parce qu'elle nous rappelle que les traditions ont du bon, surtout quand elles s'accompagnent d'une petite touche moderne. Ensuite, parce que produire du sel en France, et particulièrement dans la Manche, c'est une manière de valoriser le terroir local tout en innovant.
Et puis, avouons-le, un sel fumé pour relever vos plats d'hiver, c'est quand même autre chose que le sel classique du supermarché.
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