1. C'est un marathon de vigilance
Les chauffeurs de déneigeuse enchaînent des heures de conduite à une vitesse réduite (entre 30 et 50km/h) pour racler et saler les routes. Ils doivent jongler entre la visibilité réduite par la neige, les autres véhicules parfois mal préparés, et les itinéraires à traiter en urgence.
2. Une responsabilité immense
Ces chauffeurs savent que leur travail conditionne la sécurité et la vie de milliers d'usagers. Une erreur, un retard ou une panne peut immobiliser un axe routier entier.
3. Le stress des imprévus
Neige plus abondante que prévu, poids lourds bloqués, ou accidents : chaque imprévu peut bouleverser leur mission. Ils doivent alors communiquer rapidement avec les équipes de coordination et parfois improviser des solutions.
4. Un combat contre le froid… et le sommeil
Dans l'habitacle chauffé de leur machine, les chauffeurs luttent contre la fatigue tout en surveillant les commandes complexes des engins. Pendant les crises majeures, ils peuvent enchaîner jusqu'à 12 heures de travail.
5. Une mécanique de précision
Chaque passage est minuté et calibré pour maximiser l'efficacité des traitements. La quantité de sel à répandre, les zones prioritaires et les itinéraires sont planifiés dans un document stratégique appelé le Document d'orientation de viabilité hivernale (DOVH).
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