En douze mois, leur part dans les menus n’a cessé d’augmenter, assure la municipalité. Les aliments issus du circuit court représentent désormais 35 % et le bio 30 % des achats de produits frais.
Bio et culture raisonnée
La cantine centrale, dans les Hauts de Rouen, prépare 6.000 repas par jour. L'association Local et Facile se charge de repérer les producteurs régionaux qui fourniront les produits du "circuit court". Ainsi, chaque semaine, Laurent Humel, maraîcher à Saint-Denis-le-Thiboult, livre des légumes frais "issus d’une culture très raisonnée".
De la même manière, la ferme volaillère de Jeanne Duclos, à Ambrumesnil, près de Dieppe, fournit 360 poulets par mois. "Ce sont des volailles de 15 semaines, plus matures, plus fermes que celles de 50 jours que l’on trouve habituellement", explique l’éleveuse. S’il ne s’agit pas de bio à proprement parler, les poulets sont nourris sans OGM. A l’exception du veau et de l’agneau, toute la viande servie dans les cantines rouennaises est garantie haut-normande.
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