Jeudi 18 juillet, un peu plus de 70 personnes se sont réunies devant la préfecture de l'Orne, à Alençon. Cette mobilisation, orchestrée par les syndicats de la CGT, Solidaires et FSU, avait un caractère "symbolique". L'objectif principal était de faire pression sur le président de la République, Emmanuel Macron, et sur le Nouveau Front populaire (NFP) en cette journée d'élection du président de l'Assemblée nationale.
"Nous sommes en période de vacances, et nous n'avons pas beaucoup communiqué sur cette manifestation. L'objectif n'était pas d'avoir une grande affluence, mais de montrer de manière symbolique que nous continuons à exiger des changements", a expliqué Isabelle Ledoux, responsable départementale de la CGT.
Ecoutez Isabelle Ledoux, responsable départementale de la CGT
Les trois syndicats ont également rappelé l'importance des mesures à prendre dès la formation du gouvernement. Parmi ces priorités figurent la revalorisation des salaires, des allocations minimales et des pensions, mais également le retrait de la réforme de l'assurance chômage ainsi que l'annulation de la réforme des retraites.
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