Vous ne savez pas où passer votre après-midi ? Nous vous recommandons de découvrir le parc du Champ des Bruyères, véritable poumon vert de la Métropole de Rouen, situé à cheval sur Grand-Quevilly, Petit-Quevilly, Sotteville-lès-Rouen et Saint-Etienne-du-Rouvray. Ce parc offre un cadre magnifique pour se détendre, se divertir et explorer la nature. Que vous recherchiez la tranquillité, des activités en famille ou des découvertes botaniques, il répond à toutes les envies et constitue un lieu incontournable pour les habitants et les touristes.
Une ferme pédagogique
et des activités pour tous
Aujourd'hui, sur une surface de 28 hectares, le parc présente un nouvel aménagement paysager. Les enfants et leurs parents peuvent passer du temps à la ferme pédagogique. Le mercredi après-midi, des chantiers participatifs sont organisés. Des séances pour apprendre à entretenir les espaces verts sont proposées au grand public. Pour les plus jeunes, le site offre trois aires de jeux allant de 1 000 à 8 000m². Sur l'une d'elles, les enfants devront sortir d'un labyrinthe en bois. Ils peuvent également se tester sur plusieurs activités sportives, le tout en plein air et au rythme du chant des oiseaux. En cas de petit creux, plusieurs options sont disponibles. Il est bien sûr possible de prendre son pique-nique sur place. Mais si vous n'avez rien emmené, le restaurant Le Paddock, situé dans l'allée du Champ de courses, propose de s'attabler pour le déjeuner. Un magasin vendant des produits locaux est également accessible.
Pratique. Entrées avenue des Canadiens (Petit-Quevilly et Grand-Quevilly) et rue du Madrillet (Sotteville et Saint-Etienne-du-Rouvray). Ouvert de 7h30 à 23h.
L'histoire du site
Connaissez-vous l'histoire du parc du Champ des Bruyères ?
Une transformation réussie
Rouvert au public en 2020 après deux ans de travaux, le parc du Champ des Bruyères a complètement changé. Marqué par l'histoire, il a d'abord servi de site militaire pour les cavaliers, avant d'accueillir des compétitions équestres. Charlotte Goujon, vice-présidente de la Métropole en charge de la transition écologique et maire de Petit-Quevilly, explique : "L'idée était de rendre ces hectares au plus grand nombre."
Un retour de la biodiversité
"Nous voulions que la biodiversité retrouve sa place en ville," poursuit Charlotte Goujon. Pour cela, 5 000 arbres ont été plantés, créant aujourd'hui des zones de fraîcheur très appréciées des visiteurs. La gestion écologique du parc est également mise en avant : "On ne tond pas au jardin des Bruyères comme on tondait la pelouse des parcs avant." En effet, le parc dispose d'une réserve écologique où la tonte est réduite pour favoriser le développement d'un écosystème diversifié qui est bien loin du terrain pauvre du XIXe siècle.
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