Jour de courses à l'hippodrome de Caen. Ce mercredi 27 mars, tout le monde s'active en coulisses, à commencer par l'accueil. Certaines équipes sont venues deux ou trois heures en avance. Les chevaux sont vérifiés pour s'assurer qu'ils sont bien prévus sur l'événement et que leurs vaccins sont à jour. Comme l'explique Francis Germain, vacataire de l'enceinte : "Si les vaccins ne sont pas conformes, le cheval ne rentre pas. On ne prend pas de risque."
Avant la course, tout un rituel
Ensuite, tout s'enchaîne. Le jockey amène son cheval dans le box qui lui est dédié et c'est parti pour une préparation minutieuse. Alexis Garandeau, jockey et entraîneur, raconte son rituel : "Je fais en sorte que ma jument soit bien détendue en la faisant marcher. Ensuite, on passe à un échauffement tranquille et un autre plus poussé. Et après, c'est un peu de repos, avant de passer au déferrage, à la pose du harnais et de la selle." Une fois le cheval prêt, c'est au tour du jockey, qui récupère les plaques de numéro et les dossards. C'est enfin au tour de la pesée, chaque catégorie ayant des critères de poids.
L'hippodrome est réputé pour "sa qualité de mise à disposition", précise Alexis Garandeau. Des vétérinaires sont présents, mais également un maréchal-ferrant, pour intervenir en cas d'urgence. De quoi offrir une sérénité aux participants.
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