A la Préfecture, la décision du Préfet Christian Leyrit concernant l'horaire de fermeture des bars de nuit sera rendue publique mercredi prochain (21 octobre). Le maire de Caen, lui, a déjà pris position.
« Je suis préoccupé par les déclarations de M. le Préfet. Je pense que c'est une erreur. D'un point de vue économique d'abord parce que réduire les horaires d'ouverture des bars aujourd'hui c'est réduire l'emploi qui est tout de même au centre des préoccupations. Ensuite, c'est une erreur sur le plan de la prévention. Fermer les bars plus tôt, c'est favoriser l'alcool sur la voie publique ou sur le littoral dans les boites de nuit des casinos. Au contraire, ouvrir les bars plus largement, c'est éviter les déambulations. Ce débat n'est pas fini. Nous serons derrière les propriétaires de bar dans cette affaire. En plus, ces derniers ont fait des efforts depuis an an en exigeant de leur clientèle qu'elle ne consomme plus dans la rue et en aménageant des zones fumeurs. » Si la Préfecture choisissait de faire fermer les bars plus tôt, « la ville serait fortement pénalisée et les commerçants en danger. Tout cela me semble rapide et peu concerté. Regardez le souvenir qu'a laissé Bernadette Malgorn à Rennes. C'est une catastrophe. Je ne voudrais pas que le Préfet Leyrit laisse un aussi mauvais souvenir ».
« Je suis préoccupé par les déclarations de M. le Préfet. Je pense que c'est une erreur. D'un point de vue économique d'abord parce que réduire les horaires d'ouverture des bars aujourd'hui c'est réduire l'emploi qui est tout de même au centre des préoccupations. Ensuite, c'est une erreur sur le plan de la prévention. Fermer les bars plus tôt, c'est favoriser l'alcool sur la voie publique ou sur le littoral dans les boites de nuit des casinos. Au contraire, ouvrir les bars plus largement, c'est éviter les déambulations. Ce débat n'est pas fini. Nous serons derrière les propriétaires de bar dans cette affaire. En plus, ces derniers ont fait des efforts depuis an an en exigeant de leur clientèle qu'elle ne consomme plus dans la rue et en aménageant des zones fumeurs. » Si la Préfecture choisissait de faire fermer les bars plus tôt, « la ville serait fortement pénalisée et les commerçants en danger. Tout cela me semble rapide et peu concerté. Regardez le souvenir qu'a laissé Bernadette Malgorn à Rennes. C'est une catastrophe. Je ne voudrais pas que le Préfet Leyrit laisse un aussi mauvais souvenir ».
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