Le 13 avril dernier, les écologistes ont demandé que soient respectées trois des conditions fixées à l’origine : la réalisation d’études sur la nature et l’impact des boues soulevées, le classement des Boucles de la Seine et la restauration des berges.
“A l’origine, nous n’étions pas très favorables au projet, rappelle Véronique Bérégovoy, conseillère régionale (EELV). Nous l’avons accepté en échange d’engagements forts. Or, aujourd’hui, certains lobbies économiques font pression”. Si “le port de Rouen joue le jeu”, le département de Seine-Maritime se dégonfle, selon les écologistes. “Le Conseil général a réduit de 54 à 12 millions d’euros sa participation au budget de restauration et de renaturalisation des berges de la Seine”. “Vigilants”, les verts demandent simplement que les promesses se retrouvent dans les actes.
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