Le regroupement a-t-il permis à vos agences d’affronter plus facilement la crise ?
“Bien sûr. Aucune agence n’a fermé. Au contraire, depuis 2008, huit nouvelles ont ouvert. L’avantage, pour les acheteurs ou les vendeurs, est qu’ils peuvent disposer de nos offres dans toute l’agglomération”.
Comment se porte le marché ?
“Pendant la “crise”, nous n’avons pas trop souffert. Aujourd’hui, les taux d’intérêt ont augmenté et les prix sont stables. Notre souci actuel est que nous manquons de biens à vendre, entre ceux qui attendent encore avant de vendre et ceux qui préfèrent faire des travaux d’agrandissement plutôt que d’acheter un bien plus grand. Mais depuis le début de l’année, 80 % des transactions ont été réalisées par des primo-accédants. C’est très bon signe”.
Face à Internet, les agents immobiliers sont-ils encore utiles ?
“Nous avons toute notre place. Notre premier rôle, c’est le conseil : trouver un bien répondant aux critères des acheteurs, construire son financement... Internet est avant tout une vitrine”.
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