Féru d’archéologie, Sébastien Varea, gérant avec Christelle Larson, y voit une continuité avec son métier d’origine, géomètre. “Grâce aux lasers et scanners, nous obtenons des modélisations dont la précision atteint 1/10e de millimètre”, lance-t-il. “C’est mieux qu’une photo !”
L’entreprise a ainsi numérisé la tête maorie de Rouen (lire ci-contre), les temples égyptiens de Karnak, la Promenade des Anglais à Nice, la baie du Mont-Saint-Michel, une villa de Pompéi... “Il y a un intérêt scientifique et patrimonial, puisqu’on conserve à l’identique, virtuellement, ces objets”. Mais AFT est allé plus loin en mettant en place un système de réalité augmentée.
Des images en 3D sont incorporées en direct dans une vidéo. Frédéric Sanchez, maire de Petit-Quevilly, a été le premier à l’utiliser lors de la présentation de Seine Innopolis. “On redonne du pouvoir aux élus. Leur projet surgit en 3D entre leurs mains. On peut bouger les immeubles, pivoter, zoomer”. C’est magique.
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