Après Martin Luther King en 2009, Léopold Sédar Senghor l’année dernière, les commerçantes camerounaise, appelées les “Bayam-Sellam”, seront à l’honneur cette année sur le marché africain. Au nom issu des termes anglais “to buy” et “to sell”, ces femmes négocient et achètent des produits en dehors des villes et viennent les vendre sur les marchés. “Elles se battent au sens propre du terme pour obtenir toutes sortes de produits et les rapporter sur les marchés afin d’en tirer le meilleur prix. C’est cette économie informelle qui fait tenir l’Afrique debout”, explique Evelyne Pèlerin Ngo Maa, l’organisatrice de celui de Rouen. Premier marché africain de France, il a pour but de réunir deux cultures différentes pour un moment de partage, de rencontre et de bonne humeur.
Ecoutez le témoignage de Evelyne Pèlerin, à l'initiative du marché africain de Rouen.
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