Son histoire est celle de nombreux couples : un divorce et la recherche d'un nouveau 'chez soi. 'Je disposais en 2007 de140 000 euros pour acheter un appartement. Je voulais un F3 et assez central. Mais à l'époque, les prix à la vente sont à leur zénith. Anne-Marie Viel a à peine de quoi acheter un F2 et plutôt loin du centre ville. Elle choisie donc de retourner sur la terre de son enfance, dans la Manche, où l'immobilier est plus accessible. 'Je louais un grand pavillon avec quatre chambres et un jardin pour 550 euros par mois près de Saint-Lô. A Caen, j'aurais louer un F2 pour ce prix là.
La taxe foncière en cause ?
Deux années passent et une crise avec. Limmobilier plonge. Anne-Marie Viel décide de reprendre ses recherches sur Caen. La différence était visible. Avec le même budget, javais enfin de quoi avoir un F3. Elle écume alors les petites annonces, se rend dans une quinzaine dagences. Au final, elle visitera 35 appartements avant de trouver celui qui lui convient. Il ny avait que des biens vieillots sur le marché. Encore maintenant, ceux qui ne sont pas dans lobligation de vendre ne le font pas. Résultat : il y a peu de renouvellement de loffre. Jean-Claude Delbeke, associé à lagence Lys Immobilier confirme : Les vendeurs font peu de concessions sur les prix et les acheteurs veulent acheter très bas. Sans marge de négociation des deux côtés, cela bloque les transactions, explique t-il. Depuis quelques semaines, lagent immobilier note tout de même de légères améliorations. Il y a une apparence de relance. Cest un peu plus facile dobtenir des financements des banques. Les taux demprunt sont plus intéressants, assure Maître Violeau, notaire à Caen. Au cabinet Mozes, on confirme la tendance. Il y a plus de demandes. Cest aussi leffet rentrée. Pour autant, tout ne se vend pas. Jean-Claude Delbeke a depuis 2007 dans ses offres une maison rue dAlsace. Son prix dorigine : 350 000 euros. Aujourdhui, elle est à 300 000 euros. Malgré la baisse, rien ny fait. Cest une maison des années 70. Cest le type de produit qui souffre le plus. Aujourdhui, les gens veulent du pavillon tout neuf ou du tout ancien.. Depuis quelques semaines, un autre élément vient changer la donne dans les transactions immobilières. Cest laugmentation du taux de la taxe foncière de 6,5%. Cest un problème. Jai un appartement F4 de 100m2 dans le Vaugueux estimé à 200 000 euros. Lan dernier, sa taxe foncière était de 1160 euros. Cette année, elle sera de 2500 euros. A cela, en charge fixe, il faut aussi ajouter les frais dentretien de limmeuble, les frais de syndic, la taxe dhabitation Jai calculé pour cet appartement, il y aura sur dix mois, 700 euros mensuels de charge générale. De quoi décourager les éventuels acquéreurs... La relance de limmobilier à Caen , ce nest donc peut-être pas tout à fait pour maintenant.
La taxe foncière en cause ?
Deux années passent et une crise avec. Limmobilier plonge. Anne-Marie Viel décide de reprendre ses recherches sur Caen. La différence était visible. Avec le même budget, javais enfin de quoi avoir un F3. Elle écume alors les petites annonces, se rend dans une quinzaine dagences. Au final, elle visitera 35 appartements avant de trouver celui qui lui convient. Il ny avait que des biens vieillots sur le marché. Encore maintenant, ceux qui ne sont pas dans lobligation de vendre ne le font pas. Résultat : il y a peu de renouvellement de loffre. Jean-Claude Delbeke, associé à lagence Lys Immobilier confirme : Les vendeurs font peu de concessions sur les prix et les acheteurs veulent acheter très bas. Sans marge de négociation des deux côtés, cela bloque les transactions, explique t-il. Depuis quelques semaines, lagent immobilier note tout de même de légères améliorations. Il y a une apparence de relance. Cest un peu plus facile dobtenir des financements des banques. Les taux demprunt sont plus intéressants, assure Maître Violeau, notaire à Caen. Au cabinet Mozes, on confirme la tendance. Il y a plus de demandes. Cest aussi leffet rentrée. Pour autant, tout ne se vend pas. Jean-Claude Delbeke a depuis 2007 dans ses offres une maison rue dAlsace. Son prix dorigine : 350 000 euros. Aujourdhui, elle est à 300 000 euros. Malgré la baisse, rien ny fait. Cest une maison des années 70. Cest le type de produit qui souffre le plus. Aujourdhui, les gens veulent du pavillon tout neuf ou du tout ancien.. Depuis quelques semaines, un autre élément vient changer la donne dans les transactions immobilières. Cest laugmentation du taux de la taxe foncière de 6,5%. Cest un problème. Jai un appartement F4 de 100m2 dans le Vaugueux estimé à 200 000 euros. Lan dernier, sa taxe foncière était de 1160 euros. Cette année, elle sera de 2500 euros. A cela, en charge fixe, il faut aussi ajouter les frais dentretien de limmeuble, les frais de syndic, la taxe dhabitation Jai calculé pour cet appartement, il y aura sur dix mois, 700 euros mensuels de charge générale. De quoi décourager les éventuels acquéreurs... La relance de limmobilier à Caen , ce nest donc peut-être pas tout à fait pour maintenant.
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