Le CO2 présent dans les fumées industrielles est capté par des amines (solvants). Il s'agit pour l'instant d'une unité pilote, pouvant absorber un kilogramme de CO2 par heure. L'unité réelle, telle que Sedibex et l'Insa l'imaginent à terme, pourrait, elle, capter de 2 à 3 tonnes/heure.
Que faire de tout ce CO2 stocké ? Le projet n'élude pas la question. Les partenaires réfléchissent à un moyen de valoriser ces rejets captés, sans créer de nouvelles émissions de CO2. Une mutualisation de ce nouveau procédé entre industriels est également en réflexion.
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