Selon la parlementaire, "leur réunification est le prolongement logique des réflexions engagées aujourd’hui, aussi bien au niveau national que local, de simplification du mille-feuille administratif et de mutualisation des moyens, cela au bénéfice des habitants."
"La fusion aurait en effet pour conséquence de renforcer les services publics de proximité et de diminuer les impôts communaux de Bihorel de 6,7 millions d’euros sur 12 ans".
Catherine Morin-Desailly a tenu à préciser que Bois-Guillaume et Bihorel formaient par le passé une seule et même commune, Bihorel ayant été un quartier de Bois-Guillaume jusqu’en 1892. "La fusion permettrait donc d’unir à nouveau deux communes liées par l’histoire, et de renforcer leur cadre de vie", estime la sénatrice. "Puisse cet exemple inspirer en cette année du 1100ème anniversaire la réunification des normandes".
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