L’année 2011 est importante pour Mercedes-Benz puisque le constructeur allemand y entame la 125e année de sa glorieuse histoire en tant qu’inventeur de l’automobile. Et depuis, l’étoile qui lui sert d’emblême brille toujours aussi fort au firmament. Dans le feu nourri de ses nouveautés, l’arrivée de la troisième génération de son roadster SLK – initiateur du coupé-cabriolet moderne - est en soi un petit événement. Archétype de la voiture plaisir, il s’en est vendu plus d’un demi-million d’exemplaires depuis sa sortie, en 1996. De toute beauté, sa nouvelle version se caractérise par une face avant abandonnant toute référence à la Formule 1, pour mieux puiser l’inspiration dans ses racines passées, celles de la mythique 300 SL des années 1950. Mais de profil, la sensation de fluidité aérodynamique s’impose. On retrouve naturellement cette volonté de sportivité dans les motorisations, un quatre cylindres en ligne et un V6, tout deux à injection directe d’essence de dernière génération.
Avec une sonorité dûment retravaillée à la clef pour ajouter du lustre à l’ensemble. Il suffit en effet d’appuyer un peu fort pour profiter à plein du son rauque émis par les 1 800 cm3 de la SLK 200 d’accès à la gamme (à partir de 39 900 €). Mais on attend la prochaine étape... une SLK diesel, promise pour 2012.
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