Avec moins de 4 mètres de long, l’inédite Verso-S vient se placer juste en-dessous de sa récente grande sœur, la Verso tout court, prenant en quelque sorte la place laissée vacante par feu la Yaris Verso.
Avec des arguments différents liés à l’évolution du temps, puisque cette nippone s’adresse autant aux jeunes familles qu’aux seniors. Et si la silhouette est réussie, c’est d’abord à l’intérieur que la Verso-S marque des points par ses aspects pratiques.
Mis en exergue dans son appellation par la dix-neuvième lettre de l’alphabet, pour “Small”, “Space” et “Smart”. Ce qui donne, en bon français, “petit”, “spacieux” et “astucieux”.
Un cahier des charges à l’évidence respecté, par exemple au niveau des sièges arrière qui se rabattent très aisément par l’intermédiaire de poignées logées dans les côtés du coffre. Et ce dernier offre un plancher à deux hauteurs pour en accroître la capacité.
Assemblages soignés, commandes tombant bien sous la main et confort des plus correct ne sont pas moins convaincants. Et, à partir de la finition intermédiaire Dynamic, un magnifique toit en verre inonde l’habitacle de lumière. En coulisses, certaines conceptions innovent, tel l’allègement des sièges avant, empruntés au concept de la toute mini IQ, ou bien les faisceaux de câbles en alu. Au volant, la Verso S témoigne d’une tenue de route sans histoire. En revanche, malgré ses 99 ch, le 1.3i essence s’avère vite à la peine, alors que le diesel 1.4 D4-D de 90 ch (à partir de 17 800 € en finition d’accès Active) permet de mieux savourer, grâce à son bon couple, les bons et loyaux services procurés par la dernière-née de Toyota.
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