Le 20 janvier dernier, un article paraissait sur le site du journal le New-York Times, "The many lessons of Kouign-Amann", que l'on peut traduire par "Les nombreuses leçons du Kouign-Amann". Yewande Komolafe, la journaliste à l'origine de l'article, décrivait les sensations ressenties en mangeant ce gâteau, son préféré "de par sa façon de réconforter avec seulement quelques ingrédients très simples".
"Pour le vrai kouign-amann, vous devrez aller à Montréal"
Elle raconte avoir poussé les portes de la pâtisserie "Au Kouign-Amann", fondée par un Français à Montréal (Québec). Elle décrit les sensations apportées en goûtant ce gâteau au beurre, le plaisir gustatif l'enveloppant après une période difficile du côté de sa famille, la ramenant à de bons souvenirs.
La journaliste terminait son papier par cette phrase : "Pour le vrai kouign-amann, vous devrez aller à Montréal." Problème, Nicolas Henry est un Français originaire…d'Alençon, dans l'Orne. La spécialiste culinaire était sûrement loin de se douter qu'elle attirerait les foudres des Bretons. Le lundi 23 janvier, Le Télégramme s'est amusé du raccourci de la journaliste, dénonçant une "sacrée faute de goût".
Le kouign-amann (en breton "gâteau au beurre") est une pâtisserie emblématique de Douarnenez (Finistère), conçue à base de beurre demi-sel, de pâte feuilletée et de sucre caramélisé.
• Et vous, quel souvenir gardez-vous de la dégustation de votre meilleur kouign-amann ? N'hésitez pas à commenter !
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Le kouing amann est breton et j irais pas en chercher ailleurs.
Le kouing amann est un véritable poison pour la santé mieux vaut éviter de manger ce truc infame .