Rappelez-vous sa voix sur son tube "Don't be so shy". La chanteuse Imany jette un sort à huit violoncelles pour transformer des tubes de l'histoire de la pop, de Radiohead à Cat Stevens en passant par Donna Summer ou Bob Marley.
Depuis le début des années 2010, l'artiste est attirée par les cordes, séduite par les reprises du Vitamin String Quartet. Huit violoncelles, c'est une multitude de possibilités entre le grave et l'aigu : "Parfois, on a l'impression qu'ils peuvent être des cuivres ou des guitares électriques… Comme s'ils étaient hantés." Et parce que le Voodoo Child de Jimi Hendrix sonne si bien, le titre de l'album est trouvé : Voodoo Cello. Imany y raconte des femmes qui se battent (The Things She Said), la sororité (Wild World), la capacité de résilience (I'm Still Standing) ; elle dénonce le racisme (Black Little Angels), les ravages de la drogue (The A Team). Voici un album mémorable.
Imany, mardi 31 janvier à 20 heures au Quai des Arts à Argentan.
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