Le tout premier Grand Prix Mondial, qui met en concurrence les plus rapides des voitures de course, va se dérouler dans différents pays (Japon, Italie, France, Angleterre, etc.) et sacrera la voiture la plus rapide du monde.
Comme il se doit, Flash McQueen est l’un des favoris, et il part en compagnie de son fidèle compagnon, Martin la dépanneuse. Mais à la suite d’une méprise, Martin est pris pour un espion. Ses aventures vont presque éclipser celles de Flash MacQueen, d’autant plus que l’industriel, qui sponsorise la course, lance un nouveau carburant écologique, ce qui va aiguiser bien des convoitises et des jalousies.
Attendu avec impatience par ses fans, voici la suite des aventures rocambolesques de Flash McQueen, la voiture qui parle et éprouve des émotions comme un être humain.
Avec John Lasseter aux commandes, on est sûr que les scènes spectaculaires vont se succéder, le plus souvent à un rythme trépidant. Comme toujours, le réalisateur a truffé son film de trouvailles visuelles, comme, par exemple, la reconstitution des décors de Tokyo, Paris, Londres, etc., chaque pays permettant des gags très “couleurs locales”.
C’est très bien fait, avec des images impressionnantes et de nombreux gags. On reconnaît bien la marque de qualité des studios Pixar. Et la morale qui se dégage de cette histoire est sympathique, valorisant le sens de l’amitié et le respect de la planète.
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