Les bijoutiers se portent plutôt bien. On le sait, en temps de crise, l'or est une valeur refuge. "Les clients n'hésitent pas à se faire plaisir, les bagues et colliers en or se vendent bien, comme d'habitude", explique cette antiquaire et bijoutière de la rue de l'Oratoire. Achat et vente, une activité qui tient la route quand l'argent liquide manque à la fin du mois. "Les reventes de bijoux sont nombreuses car les besoins en argent frais pour la vie de tous les jours font partie de la demande. On n'hésite plus à se séparer d'un bijoux dont on a hérité, ou encore d'un meuble." C'est tout simplement le troc, l'économie simplifiée remise au goût du jour.
11 euros le gramme
Et en ce qui concerne lor, métal le plus sûr pour sa valeur, la revente dans les magasins tient aussi le haut du pavée. À 11 euros le gramme, les personnes qui cèdent leurs biens précieux continuent à affluer chez les professionnels de lor. Cela peut-être un bijoux ou un vieux lingot qui se trouvait dans un coffre de banque. Mieux vaut avoir de lor que des économies sur un compte bancaire et une bourse en chute libre. La bijoutière et antiquaire de la rue de lOratoire avoue que les légations dhéritage sont aussi des raisons qui poussent les propriétaires à passer le cap de la revente. Des personnes qui reçoivent une certaine somme de biens à un âge, 60 ans en moyenne,où ils ont déjà acquis, pour la plupart, la majeure partie de leur meubles, services de vaisselle et bijoux. Mais en temps de ralentissement économique, le troc de luxe représente un argument de plus pour toucher de largent liquide.
11 euros le gramme
Et en ce qui concerne lor, métal le plus sûr pour sa valeur, la revente dans les magasins tient aussi le haut du pavée. À 11 euros le gramme, les personnes qui cèdent leurs biens précieux continuent à affluer chez les professionnels de lor. Cela peut-être un bijoux ou un vieux lingot qui se trouvait dans un coffre de banque. Mieux vaut avoir de lor que des économies sur un compte bancaire et une bourse en chute libre. La bijoutière et antiquaire de la rue de lOratoire avoue que les légations dhéritage sont aussi des raisons qui poussent les propriétaires à passer le cap de la revente. Des personnes qui reçoivent une certaine somme de biens à un âge, 60 ans en moyenne,où ils ont déjà acquis, pour la plupart, la majeure partie de leur meubles, services de vaisselle et bijoux. Mais en temps de ralentissement économique, le troc de luxe représente un argument de plus pour toucher de largent liquide.
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