A la piscine Transat, à Bihorel, un lundi soir, une trentaine de personnes, des femmes surtout, 40 ans de moyenne d’âge, s’agitent dans deux bassins au rythme d’une musique techno. Sur le bord, deux maître-nageurs, tels deux chefs d’orchestre en maillot, leur dictent les mouvements à suivre. L’ambiance est bonne, les rires fusent.
Sans se faire mal
Ici, comme dans d’autres centres aquatiques de l’agglomération, plusieurs types d’activités sont proposés. Vingt-deux cours par semaine au total. Au menu : aqua-fitness, aqua-slim, pour raffermir et affiner, aqua-power, plus dynamique, aqua-stretch, tout en souplesse et aqua-danse, très ludique. “Il n’y a pas de milliers de gestes, tout est dans l’intensité”, explique Samuel Mainot, le directeur des lieux. L’eau permet une activité physique sans chocs ni traumatismes. Tout cela grâce à la fameuse poussée d’Archimède !
De 15 à 80 ans, le public est large. Et les hommes ? “Il y en a encore peu, mais nous les accueillons avec plaisir !”, rassure Samuel Mainot. Si la semaine et le matin sont davantage fréquentés par les personnes plus âgées, le midi et le soir, l’eau se remplit d’actifs à la recherche de bien-être. Autre activité aquatique en vogue, l’aqua-biking séduit de plus en plus. Le principe : pédaler sur un vélo immergé.
“Moi qui suis peu sportive, l’impression de fatigue est moins forte sur le moment. On ne se rend compte de l’effort fourni qu’une fois que l’on arrête”, raconte Charlotte, 25 ans, qui le pratique à la piscine Eurocéane, à Mont-Saint-Aignan. En plus, c’est plutôt rigolo !”
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