Dernière ligne droite pour les organisateurs. Après trois ans de pause forcée, le festival Beauregard fait son grand retour mercredi 6 juillet, à Hérouville-Saint-Clair. Depuis le lundi 13 juin, près de 1 000 personnes travaillent d'arrache-pied pour que tout soit prêt.
Les équipes techniques s'activent à Beauregard
"On n'a pas de retard, donc il y a moins de stress, se réjouit Paul Langeois, programmateur du festival, ravi de retrouver la foule. Cela représente trois semaines et demie de montage et deux semaines pour tout démonter." Ce jeudi 30 juin, c'est l'heure de mettre sur pied les deux scènes. Les techniciens ont commencé par l'électricité, le réseau internet, l'éclairage, la pose des sanitaires, puis viennent ensuite les structures qui abritent les pôles VIP, catering, bars, etc.
"Le montage ? C'est comme un Lego"
Yannick Poulen travaille à la Ville d'Hérouville-Saint-Clair. Il coordonne la distribution électrique du festival. "Le plus gros câble fait 100 m de long, il faut parfois être trois pour le dérouler. C'est très lourd."
Dans six jours, le château de Beauregard va revivre au rythme de la musique.
6 km de barrières, 15 000 m2 de structures…
À six jours de l'ouverture du parc, pas question de lésiner sur les efforts.
La régie prend de la hauteur.
Yann Mezerette est technicien nacelliste. Il grimpe à 16 mètres de haut. "On peut quasiment atteindre le sommet de la scène. On accroche des lumières dans les arbres, on habille la tour régie avec des bâches…" Tout est planifié de A à Z. "C'est comme un Lego, il faut mettre les choses pièce par pièce pour que ça fonctionne", ajoute Paul Langeois. Ce travail d'orfèvre va durer jusqu'à l'ouverture des portes du festival. En dernier, les techniciens s'attaqueront à la partie technique, le son et la lumière.
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