Après s'être rendu à Caen et à l'usine Renault de Sandouville, Martine Aubry est arrivée vers 17h30 à Canteleu, où elle s'est entretenu avec Laurent Fabius, député et président de la Crea, et Christophe Bouillon, le député-maire de Canteleu.
C'est vers 18h45 qu'elle est arrivée dans un gymnase Calmat bondé et enthousiaste. Près de 1500 personnes étaient présentes, selon les services de la ville de Canteleu. Peu de jeunes semblaient avoir fait le déplacement, la moyenne d'âge tournant plutôt autour de 50 ans.
Avant de se lancer dans son discours "national", et après avoir écouté Christophe Bouillon et un Laurent Fabius offensif, la première secrétaire du PS et maire de Lille a réaffirmé son attachement à la Haute-Normandie, "cette terre de travail et d'industrie", glissant au passage un mot de remerciement à ses alliés rouennais, dont Valérie Fourneyron, membre de son équipe de campagne, "une grande amie". "La Seine-Maritime est un bon exemple en matière de bouclier social", a affirmé Martine Aubry. Une petite phrase qui n'aura pas laissé insensible Didier Marie, président du Conseil général 76. Alain Le Vern, président du Conseil régional, et Guillaume Bachelay, élu de Cléon, vice-président de la Région Haute-Normandie et pièce maîtresse de l'équipe aubryste, ont, eux aussi, eu le droit aux louanges de la candidate socialiste.
Pour rappel, les primaires socialistes se dérouleront les 9 et 16 octobre, partout en France.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.