Le Salon de Francfort, qui vient de se tenir dans la dernière quinzaine de septembre, a plus que jamais été à la hauteur de la puissance de l’industrie automobile allemande. C’est-à-dire triomphante sur le plan économique, grâce aux grosses cylindrées si rémunératrices pour leurs constructeurs, et si prestigieuses aussi en pouvant toujours rouler à grande vitesse sur moult portions des autoroutes du pays, objets de concupiscence exportés vers tous les îlots de propérité du monde, Asie et Chine notamment.
Par rapport au Mondial de l’Automobile de Paris, qui se tient tous les deux ans à Paris en alternance avec l’IAA de Francfort, le rendez-vous germanique l’a assurément surpassé en décorum, inouï. Et dans l’enceinte du plus grand salon automobile du monde de l’année 2011, les nouveautés étaient bien là, à foison, avec un spectacle non moins extraordinaire au niveau des concept-cars.
Chargés d’éclairer tout un chacun sur l’avenir de l’automobile, c’est aussi à ce niveau que le visiteur a pu rester sur sa faim. Car la “belle” carrosserie paraît se faire plus rare, au profit d’autos sans style affirmé mais voulues fonctionnelles, semblant même échappées de l’univers des fameux Playmobil et que l’on verrait mieux dans le sac à jouets du petit que dans la rue. Mais les y rencontrerons-nous un jour ?
En tous cas, dans un contexte économique peu favorable, l’automobile semble, une fois de plus, tirer son épingle du jeu. Avec 10 % de visiteurs en plus au Salon de Francfort (928 000 entrées), notre chère bagnole montre qu’elle fait encore rêver les foules.
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