Après cette déclaration de François Baroin, selon lequel la gauche serait arrivée au pouvoir "par effraction" en 1997, la séance de l'Assemblée Nationale a dû être levée. Les députés Valérie Fourneyron, Sandrine Hurel et Christophe Bouillon ont tenu à réagir aux propos du Ministre de l'économie et des finances, qualifiant l'incident de "grave", affirmant que c'est "une remise en cause par un membre du gouvernement du vote des citoyens et de la légitimité du suffrage universel et donc de la démocratie."
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.