Cultivant l’anticonformisme, la gamme Mini vient de s’élargir d’une cinquième carrosserie qui la métamorphose en coupé biplace. Quoique d’essence plus masculine, cette exécution ne lâche rien de l’esprit “fun” et “glamour” qui caractérise la Mini et explique en partie son succès.
Entièrement redessinée depuis le pare-brise (plus incliné et enrichi d’un arceau de sécurité), la partie postérieure se présente sous un look très particulier, évoquant un roadster sur lequel on aurait greffé un hard-top en forme de casque.
Mais ici, l’ensemble est d’un seul tenant, avec une qualité d’exécution identique aux berlines. Et une version roadster en sera extrapolée dès le début 2012.
En abandonnant les assises arrière, le Coupé dispose d’un coffre généreux et fait naturellement planche de bord commune avec ses sœurs de gamme. A consonance sportive, l’équipement donne surtout libre cours à des possibilités de personnalisation à outrance… à condition d’y mettre le prix !
Mais c’est sur le plan technique que la Mini Coupé exprime encore davantage sa différence au travers d’une rigidité structurelle très renforcée par l’incorporation dans le châssis d’une épaisse traverse en “U” de 25 kg. La répartition des masses a aussi été déplacée sur l’avant, et la suspension rendue plus ferme.
Animée par les meilleurs blocs essence (Cooper 122 ch - à partir de 21 350 € -, Cooper S 184 ch et JCW 211 ch), et aussi le 2.0 diesel de 143 ch (Cooper SD), on retrouve bien les sensations de conduite avivées des autres Mini. Mais avec une belle amélioration de la traction en courbes serrées, pour un plaisir de pilotage très accru.
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