Depuis le mois de juin, une haute grue s’active derrière elle. En 2013, un vaste bâtiment à l’architecture ambitieuse ouvrira ses portes, une extension jugée “vitale” par la direction.
S’adapter aux évolutions
Au dessus d’un parking de 134 places, indispensable en centre-ville, 63 cabinets de consultation d’un large éventail de spécialités ouvriront. “Nous avons attendu des années avant de mener à bien ce projet”, rappelle Mathias Martin, le jeune et dynamique PDG de la clinique. “Cette refonte complète clarifiera les choses : nous aurons l’hospitalisation d’un côté et les consultations de l’autre”.
Mathias Martin le répète : la construction du nouveau bâtiment “n’est qu’une étape”. Une étape de plus pour une clinique de centre-ville un peu à l’étroit dans ses murs et en évolution constante. “Une fois le bâtiment de consulations construit, 1 000 m2 vont se libérer dans les locaux existants. Nous procéderons à la réorganisation des services actuels, comme ceux de chimiothérapie ou de réadaptation cardiaque, et à la création de chambres individuelles”. La clinique Saint-Hilaire est aujourd’hui en discussion avec la Mutualité française pour conventionner ces dernières, toujours plus plébiscitées par les patients. La prise en charge ambulatoire sera également développée.
Pour l’établissement privé voisin du CHU, avec lequel des liens se sont tissés notamment dans les domaines de réadaptation cardiaque, de gastro-entérologie et de prise en charge de l’obésité, s’étendre en ville, “au coeur de ce pôle régional de santé, est une chance”, conclut Mathias Martin.
Thomas Blachère
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