Arrêtée depuis le début du mois de janvier faute de liquidités pour pouvoir acheter du pétrole brut, la raffinerie de Petit-Couronne ouvre donc un nouveau chapitre, incertain, de son histoire. Il n'excluerait pas non plus de vendre celles d'Anvers (Belgique) et Cressier (Suisse).
Eric Besson, le ministre de l'industrie, a demandé au PDG du groupe, Jean-Paul Vettier, d'aider le gouvernement à trouver un repreneur. Les deux hommes devraient se rencontrer dans l'après-midi.
Pour rappel, outre Petit-Couronne, Anvers et Cressier, Petroplus possède deux autres raffineries : Coryton au Royaume-Uni et Ingolstadt en Allemagne. Près de Rouen, il emploie 550 salariés.
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