L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a jugé ce mercredi 20 octobre "acceptable" la solution proposée par EDF pour réparer le dernier problème en date sur le chantier du réacteur EPR de Flamanville, celui des soudures dites de "piquages". L'ASN a néanmoins demandé des éléments complémentaires.
Le gendarme du nucléaire explique notamment, dans une note, ne pas s'opposer à la pose d'un collier de maintien sur ces raccordements de tuyauterie souffrant d'un "écart de conception", évitant ainsi à EDF des réparations plus complexes qui auraient menacé le démarrage du réacteur fin 2022, déjà en retard de dix ans par rapport au planning initial.
• Lire aussi. Flamanville. La mise en service de l'EPR sera-t-elle à nouveau retardée ?
Avec AFP
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