Mardi 7 février, "une combinaison défavorable entre la pollution de l'air et certains paramètres météorologiques (vents, températures...)" entraînera "le dépassement d'un seuil réglementaire pour la protection de la santé. Les particules en suspension (ou « poussières ») aujourd'hui en cause sont de petites tailles. D'origine locale ou plus lointaine, leur composition peut être très variée : naturelle ou liée à l'activité humaine (chauffage, industrie, trafic, agriculture)", a informé Air Normand, organisme chargé de surveiller et mesurer la pollution atmosphérique dans la région.
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