Dans l’Angleterre du début du XXe siècle. Dès qu’il l’a vu dans cette vente aux enchères, Ted Narracott, un fermier qui tire le diable par la queue, n’a pu s’empêcher de renchérir pour obtenir, à un prix très élevé, le magnifique cheval qu’il baptise aussitôt Joey.
Mais que peut-il faire de ce pur-sang, lui qui avait besoin d’un solide cheval de trait ? C’est Albert, leur jeune fils, lui aussi tombé sous le charme du bel étalon, qui va réussir à lui faire labourer un champ. Joey se révèle un cheval courageux et très résistant. La guerre approche, et, la mort dans l’âme, Ted vend Joey au capitaine Nicholls.
Avec sa fière monture, le capitaine arrive en France, où Joey rencontre un autre cheval, avec lequel il se lie d’amitié. Mais leurs deux cavaliers sont bientôt tués lors d’un assaut…
Il y a quelques mois à peine, Steven Spielberg séduisait les spectateurs avec “Les aventures de Tintin : Le secret de la Licorne”.
Il revient avec une œuvre classique, destinée aux enfants (enfin, pas uniquement !), véritable ode à l’amitié entre un jeune garçon et un superbe cheval.
Surtout, il abandonne tous les effets spéciaux et images numériques pour filmer les grands espaces (la campagne anglaise ou française) et la folie des hommes (les champs de bataille et les tranchées).
Et l’on retrouve le Spielberg d’autrefois, qui aime les histoires romanesques et les filme avec tout le savoir-faire dont il est capable.
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