Selon le dictionnaire Larousse, un astrolabe est “ un instrument qui fournissait une représentation du ciel à un instant donné, en projection sur un plan”. Selon Petit-Quevilly, ce sera une salle polyvalente. A la fin de l’année, sur la friche de la société Cofrarer, à deux pas de l’hôtel de ville, L’Astrolabe ouvrira donc ses portes. Circulaire, bardé de bois et doté d’une toiture végétalisée, l’équipement viendra remplacer l’actuelle salle des fêtes de la rue Guillaume-Lecointe, “devenue obsolète”, selon le maire (PS) de Petit-Quevilly, Frédéric Sanchez.
La future salle polyvalente, elle, se voudra “high-tech”, équipée d’une scène amovible, de sonorisation, d’un écran et d’éclairages. Accessible aux personnes à mobilité réduite et livrée avec un parking de 100 places, elle aura pour vocation d’accueillir des réunions publiques, conférences, expositions, examens, concerts, repas, thés dansants, lotos et autres animations locales. Coût du chantier : 2,3 millions d’euros.
Mais au-delà de la naissance de cette salle, c’est le futur de tout un quartier, appelé “Petit-Quevilly village”, coupé du reste de la ville par la Sud III, qui est en jeu. “Un signal est envoyé : celui que le quartier de la mairie est appelé à devenir un lieu de vie”, se réjouit le maire. Car sur la même friche industrielle, près de 200 logements devraient voir le jour dans un second temps. Une urbanisation qui, selon Frédéric Sanchez, pourrait enfin permettre de faire revenir des commerces, notamment une supérette. La réalisation de terrains synthétiques, au cœur du pôle football, et la venue du centre technique municipal, devraient finir d’achever la redynamisation du quartier. “L’objectif, précise le maire, est de conserver cette ambiance de village”.
(Visuel Groupe 3 architectes)
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.