Le méningocoque, qui a causé la mort de la jeune fille de 15 ans, samedi 25 février, est désormais connu. Il s'agit de la souche B14 P1,7:16, que l'on trouve en Seine-Maritime depuis 2003.
L'adolescente avait reçu trois injections de vaccin, en 2009, lors d'une campagne de vaccination.
L'Agence Régionale de Santé a tenu à préciser que "l'apparition d'une forme grave de la maladie après une vaccination reste un événement très rare." Des études et analyses complémentaires sont en cours.
Une vaccination sera recommandée aux personnes de l'entourage de cette jeune fille. Des vaccinations seront également organisées au sein de l'établissement que fréquentait l'adolescente.
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