“A l’Esigelec, le généraliste acquiert de solides connaissances dans les technologies de pointe, principalement dans les domaines de l’informatique, l’électronique, les systèmes embarqués, les télécommunications. C’est aussi un manager capable de diriger une équipe pour gérer un projet dans son ensemble”, indique Sandra Saas, directrice de la communication à l’Esigelec. “En 2010, environ 95 % des diplômés de l’école ont signé leur contrat en moins de quatre mois, dont 60 % avant la fin de leur stage.”
Un taux d’insertion supérieur à la moyenne
L’Apec enregistre un taux d’insertion des jeunes ingénieurs chimistes ou agronomes supérieur à la moyenne : 84 % (et 77 % pour les généralistes). La crise a-t-elle impacté leur recrutement ? “Pas vraiment. On a constaté un pincement des salaires à l’embauche, au milieu de la crise. Ils augmentent à nouveau". Les ingénieurs généralistes s’orientent surtout vers l’informatique, les industries automobile et aéronautique, ainsi que vers les bureaux d’études ou sociétés de conseils. La majorité des ingénieurs agronomes ou chimistes sont employés dans les secteurs industriels de la chimie, de l’agroalimentaire et de la pharmacie.
Nouvelles spécialités
Avec l’évolution du marché, de nouvelles spécialités apparaissent : l’ingénierie biomédicale qui permet de travailler à la conception de nouveaux matériaux médicaux pour la chirurgie de pointe, l’ingénierie développement durable, etc.
Pratique
.ESIGELEC : www.esigelec.fr
.INSA : www.insa-rouen.fr
.Esitpa : www.esitpa.org
.CESI : www.eicesi.fr
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