Après une saison blanche, Rouen a débuté la saison avec une victoire et une défaite, contre Montigny. L'occasion de s'entretenir avec le président Pierre-Yves Rolland.
Quelles ont été les conséquences de la crise sanitaire sur le club ?
Le premier confinement est tombé la veille de l'ouverture de la saison et ça a stoppé net toutes les compétitions (le championnat de France 2020 n'a donc pas été disputé et n'a pas été attribué, NDLR). De notre côté, on a eu peur que notre club s'éteigne et il a fallu donner un nouveau souffle pour repartir. On a fait des efforts dans le comité directeur, on se donne de nouvelles ambitions pour récupérer des licenciés. À la reprise, le club se porte plutôt bien, on est tous motivés et on va jouer sérieusement.
Concernant l'équipe de D1, comment s'est déroulé le recrutement ?
Depuis longtemps, on a misé sur la filière vénézuélienne pour nos joueurs. Et avec la Covid, nos trois recrues sont bloquées. Nous n'avons pas de contact avec l'ambassade, qui est fermée, donc c'est un travail assez compliqué. On sait que le début de saison se jouera sans eux, mais le centre de formation et notre effectif sont quand même bien fournis.
On sait que ça sera compliqué pour les play-offs et le championnat européen. Dans la saison régulière, l'effectif devrait suffire.
Alors, quelles sont les ambitions
des Huskies cette année ?
On a déjà gagné beaucoup de titres de champion de France et le Challenge. Cette année, c'est vrai qu'on va se mettre moins de pression sur la saison française pour se concentrer un petit peu plus sur la compétition européenne, c'est ce qui motive nos joueurs.
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