Dans l'Orne, la droite, ou plutôt le centre-droit, constitue historiquement la majorité départementale, successivement avec Hubert D'Andigné, Gérard Burel, Alain Lambert, puis avec le président sortant Christophe de Balorre. Elle présente des candidats sur tous les cantons, sauf Argentan 1. Traditionnellement, la gauche réussit à élire quelques-uns de ses candidats, notamment sur les grandes villes : Alençon, Flers, et Argentan. Mais cette fois, la gauche est divisée avec d'un côté le Parti socialiste et les écolos et de l'autre les communistes et La France insoumise : c'est le cas dans les deux cantons d'Alençon, les deux de Flers et les deux d'Argentan, à Damigny et La Ferté-Macé. Cette division risque de mettre en difficulté quelques candidats PS sortants. De son côté, le Rassemblement national présente des binômes sur 12 cantons, soit six de moins qu'en 2015, mais mieux ciblés, ce qui pourrait lui donner le rôle d'arbitre au second tour. À noter enfin deux candidats étiquetés La République en marche, dans le canton Alençon 1 et à La Ferté-Macé.
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