Le plateau nord demeure un secteur où l’offre est inférieure à la demande. Le nord et l’est sont des marchés quasi identiques. "Il n’y a pas de problème pour la vente des maisons entre 400 000 € et 700 000 €, voire au-delà", assure un agent immobilier. Du côté des parcs résidentiels, la rotation est importante avec des transactions autour de 2.000 €/m2.
Selon Séverine Blot, Sotteville et Grand-Quevilly sont très demandées à cause de leurs infrastructures urbaines : métro, centres commerciaux. Toutefois, on trouve peu à vendre au Grand-Quevilly. Seuls 4.000 des 12.000 logements appartiennent à des propriétaires. Ainsi, il existe quelques pavillons d’une trentaine d’années avec jardin et garage. Enfin, il y aussi des personnes qui cherchent à Saint-Etienne du-Rouvray.
Vallée de l’Austreberthe, Sotteville-lès-Rouen, les prix, stables, sont semblables. "La demande et l’offre n’ont pas forcément évolué. Il y a toujours des primo-accédants et des secundo-accédants parce que le secteur leur convient bien. On trouve des maisons de ville entre 90.000 € et 120.000 €, des pavillons individuels autour des 200.000 €", rapporte David Protais.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.