Christophe Bouillon, maire de Canteleu, député et 1er secrétaire fédéral du PS en Seine-Maritime : "Les Français veulent tourner la page (...). Les effets de la crise se font sentir et des milliers de Français ont cherché, dans ce vote (FN, ndlr), à attirer l’attention sur ces problèmes."
Gilbert Renard, maire (UMP) de Bois-Guillaume-Bihorel : "Rien n’est perdu, bien au contraire. Attendons le report des voix de certains leaders. Je doute que les électeurs de François Bayrou votent majoritairement pour François Hollande."
Matthieu Charlionnet, maire-adjoint (PCF-Front de Gauche) de Rouen : "Le Front de Gauche est la 3e force politique à Rouen. C’est une grande satisfaction et le fruit d’un travail militant important.Dans certains quartiers, Jean-Luc Mélenchon récolte jusqu’à 22 % des voix".
Pierre Albertini, ancien maire de Rouen, membre de l’équipe de campagne du MoDem : "François Bayrou dira pour qui il votera. Quant à savoir s’il impliquera ou non le MoDem derrière lui, je ne le sais pas. Cela m’étonnerait qu’il vote pour Nicolas Sarkozy. S’il le faisait, tout ce qu’il dit depuis cinq ans serait ruiné."
Jean-Michel Bérégovoy (EELV Rouen) : "Nous avons eu du mal à faire entendre nos voix. Le score du FN et le manque de réflexion sur le long terme m’inquiètent. Notre vision sur 20, 30 ou 50 ans, n’est pas simple à expliquer aux gens".
Catherine Morin-Desailly, sénatrice (Nouveau centre) : "Nous vivons un temps de mutation important. Il y a une défiance face à l’avenir. Il faudra remettre les vrais sujets au cœur de la campagne lors du second tour, comme la croissance économique et la réduction des déficits".
Toutes les informations sur la campagne présidentielle sont à retrouver dans notre dossier spécial
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