"Depuis le retour des vacances de février, je rencontre de plus en plus de situations de stress importantes, notamment des choses que je ne connaissais pas du tout, comme des envies suicidaires chez des CM1 et CM2", alerte Annie Vigneron, psychologue scolaire de l'Éducation nationale en primaire à Caen. Selon cette professionnelle, les enfants seraient plus fragilisés. "Je pense que dans certaines familles, le stress peut être important. Je suis inquiète si ces enfants ne sont plus à l'école. Au-delà des problèmes cognitifs, c'est plutôt pour leur santé mentale que je crains", poursuit-elle. Si la fermeture des écoles est annoncée ce mercredi 31 mars, cette psychologue proposera des entretiens téléphoniques aux parents qui le souhaitent.
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