"Cette union est féconde, on avance sur un certain nombre d'éléments", estime Jean-Michel Bérégovoy, adjoint au maire du groupe Rouen, l'écologie en actes, pour évoquer les premiers mois de cette nouvelle alliance politique avec le maire socialiste Nicolas Mayer-Rossignol. "Un accord politique est difficile, ce sont des discussions serrées", explique-t-il en saluant le premier budget de la mandature. "Objectivement, on est passés de la parole aux actes", insiste-t-il en évoquant les investissements consentis par la Ville ou par la Métropole, dont les 5 millions d'euros "fléchés en voirie pour la déminéralisation et la renaturation".
Satisfaction contre le contournement Est
Autre acte fort, le vote en conseil municipal contre le contournement Est. "Rouen entre enfin dans le 21e siècle", juge Laura Slimani, adjointe notamment à la démocratie participative. La Métropole, invitée à se prononcer sur l'A133-A134 par le préfet, pourrait le faire dès le 8 février, alors que le ministre des Transports a rappelé que cette autoroute ne se ferait pas contre l'avis des élus locaux.
Reste à réunir la majorité sur cette question. "On est confiants, assure Jean-Michel Bérégovoy, tout en restant prudent. La gauche a besoin de se rassembler. Je ne la vois pas s'opposer sur le contournement Est."
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Bravo, on sacrifie la santé des Rouennais déjà mise à mal par les "déjections" de Lubrizol et comparses..
Quelle chance de conserver les poids lourds sur les quais : les bonnes odeurs 'la douce musique des vombrissements..
Au diable les magouilles électorales .j'attendais mieux de nôtre jeune maire.