Galvanisés par l'annulation de l'arrêté préfectoral qui leur interdisait de défiler en centre-ville, près de 500 manifestants ont marché dans les rues de Rouen, samedi 16 janvier. Moins nombreux que lors des précédents rassemblements, ils étaient néanmoins mobilisés pour lutter contre la précarité, les violences policières et surtout contre la loi de sécurité globale.
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En tête de cortège, Gérald Le Corre, de la CGT de Seine-Maritime, se montre déterminé à aller "jusqu'au retrait de la loi, et pas seulement celui de l'article 24", relatif à la captation d'images des forces de l'ordre. Le syndicaliste surveille tout de même attentivement l'avenir de cet article, que le Sénat chercherait "à fusionner avec l'article 18 du projet de loi contre le séparatisme".
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